Maudit escaliers

Le jeune homme marchait d'un pas non chaland dans les couloirs du sixième étage. Que faisait-il ici ? C'était une question bien simple, il était sortit de la bibliothèque apres avoir chercher un ouvrage sur la révolution des Gobelins et voulu retourner à sa salle commune pour terminer un devoir de vacance qu'il devait rendre le lendemain, bien que ce ne soit pas son style de ne pas faire ses devoirs dans les temps, ses vacances avaient été bien trop exaltante que pour s'occuper d'une étude quelconque. Quand il voulu prendre les escaliers peu coopératif pour descendre au rez de chaussé, ceux-ci le montèrent un étage plus haut. Après avoir pousser un ou deux jurons qu'il n'aurai laisser pour rien au monde sortir de sa bouche en présence d'un compagnon de sa maison, il ce mit en route pour allé à l'extremiter du couloir pour prendre d'autres escaliers.

De multiples tableaux encadrait les murs, certains visages étaient bien connu au jeune héritier Malfoy, après quatre années entière a arpenter les couloirs on ce familiarise, même si on n'y prête pas plus attention cas un elfe de maison. A son passage chaque personnages des tableaux qui n'était pas trop occupé le salua d'un geste poli de la tête pour les Messieurs et d'une petit révérence pour les dames. Mais ils ne pouvaient s'attendre au même égard de politesse de la part de Lucius.

Soudain un bruit sourd ce fit entendre, et une odeur très désagréable ce fit sentire. Tout cela uni ne voulais dire qu'un seul chose : Peeves était dans les couloirs à la recherche de victimes. C'était vraiment le jour du jeune Serpentard, il aurai mieux fait de ne pas ce lever, il ce serai moins fatiguer à contrer ses habitudes. Il avisa pendant quelques minutes les lieux, pour trouver quelques choses pour le protéger, mais rien ... Le petit démon s'approchait de plus en plus, son rire horripilant résonnait dans tout le couloir.

Une seul solution vint s'offrire au plus roublard des Serpentards, il décrocha une toile de taille moyenne qui ce trouvait à sa gauche, celle-ci représentait une petite fille dans un champs de blé, toute joyeuse et heureuse ... Cela ne durerai guère longtemps ...

" Mais que vois-je un gentil élève ce promenant seul dans le couloir, gard à toi petit homme Peeves est là " voici les seuls paroles qui sortirent de la bouche translucide de l'esprit frappeur, avant que celui-ci jette des Bombabouses part vingtaine sur Lucius, qui pour ce défendre de ses odieux projectiles ce servit du tableau comme un bouclier telle un preut chevalier courageux en armure scintillante. [ Oupsss je m'égare ]

" Paffffff, .... Pafffffffffff " les projectiles retentissait à terre et sur le tableau où la petite fille commencait à pleurer.

* Abandonnera t-il donc un jour ... Fois de Serpentard un jour je me vengerais de lui, j'ai encore trois ans pour trouver le moyens de lui faire regretter de s'être attaquer à un Malfoy *

" PEEVESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS, QUE FAIS TU ??????????????? " gronda une fois au fond du couloir, la voix du concierge, qui c'était acharné au travail pour rendre le parquet brillant de propreté quelques heures plus tôt.

Voila ce qui arrangeais bien Lucius, qui put filer à toute allure dans les couloirs sans que Peeves le suivent. Celui-ci bien trop occupé à lancer ses projectiles sur le pauvre employé de l'école ...

Arrivée à l'angle du dernier couloir, le jeune homme déposa le tableau qui l'encombrait depuis quelques minutes et sourit à la petite fille du portrait qui était dégoulinante de la substance qu'était faite les bombabouses, un sourire bien mauvais et qui plus est moqueur.

" Une femme, ne m'aura jamais été aussi utile cas ce jour ... Au plaisir de vous revoirs " dit-il sarcastiquement en s'éloignant.

Marchant d'un pas lent et élégant, Lucius ne c'était que légèrement éloigné du tableau de la jeune fille en larmes, elle avait bien raison de pleurer la jouvencelle car après tout, elle avait été tranquille dans son champ de mais à rire et à chanter quand un étudiant la détacha pour se protéger de projectiles plus que mal odorant ...

Soudain une voix bien connue part l'ouïe du Serpentard ce fit entendre à quelques mètres de lui, ce qui le stoppa nette dans sa marche. C'était la voix de Potter, le jeune homme l'aurai reconnue entre mille, ce petit Gryffondor au coeur d'or, sauveurs de ses dames, défiant toutes règles écrite par l'école. Héros de surcroît ... Répugnant, mais bon comment un être comme lui pouvait paraître " bien " à un homme qui était l'anti-héros même.

Lucius ce retourna doucement un sourire collé à ses fines lèves, il faisait ainsi face à Potter, séparer de quelques pas seulement l'un de l'autre ...

" Potter toi ici, seul de surcroît ? Où sont donc tes chiens de garde ? " lança t-il calmement de sa voix traînante et habituelle

Part la suite, le Serpentard reprit la parole sur les dires de James à propos du tableau qui lui avait servit de bouclier, un bouclier vivant en quelque sorte ...

" Vois-tu, nous n'avons pas tous la chance comme toi d'être aimer par les Sang de Bourbe " dit-il en prenant soins de détacher chaque mots qu'il prononçait pour qu'ils puissent correctement ce répercuter.

Le jeune homme ne put que lâcher un rire glacial et sans aucun soupçon de joie aux paroles de son pire ennemi, décidément il ne changerai jamais, il ne ferai que lui lancé des répliques fades et sans aucun intéret. Cela devenait habituelle, d'entendre des moqueries de Potter même si celui-ci avait une autre victime attitrée. Mais diantre il ne valait pas croire que Monsieur Malfoy était également une victime, car il valait bien l'autre jeune homme en moqueries, sarcasmes et surtout quand il s'agissait de provoquer ...

" Potter ce qui est le plus triste, c'est les propos qui sortent de ta bouche. Mais c'est compréhensible, puisque tu n'as pas tes bâtards d'amis, tu dois bien me donné le change avec des mots. Mais si cela peux te rassurer, Madame ma mère m'a donné assé de gâteaux mais pas au temps que pour que je ressemble à l'autre sang de bourbe. Je ne suis point encore obèse ... " répliqua t-il en lâchant sa voix lente pour une avec plus d'intonations et de sarcasmes.

Les paroles qu'il avait prononcer allait sans nul doute, énerver le jeune lionceau au grand coeur, qui volerai au secoure de sa petite Lilly Evans. C'était plus que exaspèrent, mais nul doute que cela faisait un plaisir fou à Lucius, qui pourrai ce délecter comme il le voulait de la réaction de son interlocuteur.